Cette partie est primordiale pour les enseignants qui se sentent mis en défaut par les élèves ou étudiants tendant vers le créationnisme, et qui souhaiteraient adopter une posture matérialiste, ou naturaliste dans leur discipline, et surtout exempte de « surnature ». Le point de vue de Cyrille sera bien sûr discuté, mais il offre une bonne base de réflexion et de mûrissement de cette question primordiale.
Réflexions partagées sur le naturalisme, l’athéisme et l’agnosticisme.
RM, 1er novembre 2010