Repousser les murs et les cloisons intellectuelles peut se faire de maintes manières, au burin, au pic à glace, à la lime, ou au documentaire. Par les siennes, Sophie Robert a contribué plusieurs fois aux événements pédagogiques du CORTECS. Elle remet le couvert ce mois-ci, et demande un coup de main pour sa nouvelle contribution audiovisuelle : Le Phallus et le Pas Tout.
Rappelez-vous : Sophie Robert en novembre 2011 dans l’UE zététique & autodéfense intellectuelle de Grenoble juste avant l’interdiction de son film « Le mur », sur des propos de psychanalystes ; puis la joie de voir le film à nouveau autorisé, et un nouveau passage de Sophie par la capitale des Alpes dans le cadre du cycle « Connaissances censurées« , au printemps 2015.
Là, c’est dans nos écrans qu’elle revient, avec trois cadeaux.
- Les déconvertis de la psychanalyse (voir ici), dans le quel vous reconnaîtrez un de nos amis, Jacques Van Rillaer (auteur d’Argumentaires lacaniens sur le Mur), et un plateau de quatre personnes, rares, qui ont réussi à se déconvertir, rebrousser chemin, reconnaître s’être fourvoyés et capables d’en parler.
- Les fondamentaux de la psychiatrie (voir ici), au cours duquel trois psychiatres et un neuroscientifique posent les repères fondamentaux de la psychiatrie scientifique, tout en questionnant le sens des notions de psychisme et d’inconscient.
Et enfin, Le Phallus et le Pas Tout, film long métrage grand public en salle ! – pour lequel vous pouvez, à l’instar du CORTECS, devenir contributeur/trice !
Son nouveau film dédié au décryptage de la théorie sexuelle des psychanalystes, est presque terminé. Elle lance une souscription pour en finaliser la production car son ambition, non des moindres, est de créer les conditions d’un débat national sur la théorie et la pratique des psychanalystes, sur les sexualités, les rapports hommes-femmes, les enfants.
A propos du film, cliquer là. Extrait ci-dessous (attention, personnes sensibles à l’imposture intellectuelle s’abstenir – il y est entre autre question de « femme phalliquement lourde »).
La somme nécessaire pour faire de ce long métrage un film de cinéma est supérieure à celle qu’il est possible de collecter sur un site de financement participatif. Aussi cherche-t-elle des contributions, des apports en numéraire supérieur ou égal à 250 euros, en échange de quoi les contributeurs percevraient un pourcentage sur les recettes du film en salles ainsi que sur tous les bénéfices d’exploitation du film (en plus d’avoir son nom au générique du film).
La marche à suivre et toutes les informations sont réunies en première page de Dragon Bleu TV.
Le CORTECS se joint à Sophie Robert. Repoussons les murs.
RM