Vous avez probablement suivi la polémique autour du documentaire Le Mur – la psychanalyse à l’épreuve de l’autisme. Non ? Alors cliquez là.
Les retours ne se sont pas fait attendre, et comme lors de chaque contestation de l’institution psychanalytique un festival d’argumentaires très discutables affleurent et pourraient remplir les pages web du corteX.
Nous avons proposé un il y a quelques semaines un premier travail pratique (TP) sur les argumentaires lacaniens [1].
- Dans un premier temps, lisons attentivement le message ci-dessous en essayant de repérer les arguments fallacieux.
- Dans un second temps, étudions l’argument des résistances de Jacques Van Rillaer.
- Enfin, suivons le décorticage de ses propos par notre compère Nicolas Gauvrit [3].
[1] Il s’agissait du décorticage de l’analyse du film « Le mur – la psychanalyse à l’épreuve de l’autisme« , par Pierre-Yves Gosset, psychanalyste lacanien. Nous avions mis à décortiquer son article-pamphlet « Comment se servir de l’autisme pour « casser du psychanalyste » » puis décortiqué ces propos avec l’aide de notre collègue psychologue Jacques Van Rillaer.
[2] On pense, sans être sûrs, qu’il s’agit de Thomas Legrand, de France Inter. Nous allons lui poser directement la question, mais son identité présente moins d’intérêt que ses propos, assez caractéristiques de la défense des positions psychanalytiques concernant l’autisme.
[3] Nicolas Gauvrit a déjà contribué à nos ressources ici.
Lire l’analyse de Nicolas Gauvrit